La conscience a été entraînée par le côté où l’esprit penchait depuis si longtemps. […] Un brillant historien de nos jours4 a prétendu qu’il mourut l’esprit troublé, la conscience chargée. […] S’il a la conscience timorée de l’érudit, il n’a pas le génie de l’appréciation, nécessaire à tout esprit qui aborde l’histoire ; car la conscience de l’exactitude est insuffisante.