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1674. (1896) Essai sur le naturisme pp. 13-150

Les paroles de Jésus, sa doctrine, les rites de son culte qui ont si longtemps régi les consciences, nous sont devenus consubstantiels, et ils ont modelé nos facultés émotionnelles. […] Il lui plut d’être « le Sourire de la terre » ; d’interpréter, en sa conscience et sa haute raison, la vie muette, pourtant si intense de toutes choses.

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