La connaissance historique est, par essence, une connaissance indirecte. […] Mais la connaissance générale de la langue ne suffit pas. […] On atteint ainsi des opinions, des doctrines, des connaissances. […] On peut chercher à dégager ces matériaux de connaissance. […] Nous devons dresser, au moins mentalement, le tableau de nos ignorances pour nous rappeler la distance entre notre connaissance réelle et une connaissance complète.