Ici encore la connaissance porte sur un état plutôt que sur un changement. […] Et tel est aussi celui de notre connaissance. […] Discontinue est l’action, comme toute pulsation de vie ; discontinue sera donc la connaissance. […] La connaissance qui le prendrait pour objet, à supposer qu’elle fût possible, serait moins que science. […] Mais, justement pour cette raison, la connaissance scientifique devrait en appeler une autre, qui la complétât.