En 1846, il priait le baron de Humboldt de remettre un de ses discours académiques « à son auguste roi, pour lequel, vous connaissez ma sympathie et mon admiration ». […] Hugo ne connaissait que cette politique positive. […] Cette égalité civile, qui conserve aux Rothschild leurs millions et leurs parcs, et aux pauvres leurs haillons et leurs poux, est la seule égalité que connaisse Hugo. […] Mais Chateaubriand, à l’exception d’une petite chanson fort connue et d’une pièce de théâtre justement inconnue, n’écrivit qu’en prose. […] On ne saurait trop en recommander la lecture aux Hugolâtres qui désirent connaître intimement leur héros.