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17. (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Appendice. — Post-scriptum sur Alfred de Vigny. (Se rapporte à l’article précédent, pages 398-451.) »

-B. m’aime et m’estime, mais me connaît à peine et s’est trompé en voulant entrer dans les secrets de ma manière de produire… Il ne faut disséquer que les morts… Dieu seul et le poète savent comment naît et se forme la pensée. […] M. de Vigny dit, dans cette note de 1835 (et non pas 1833), que je le connais à peine. A cela je pourrais répondre : « Et ‘qui donc peut se vanter d’avoir connu M. de Vigny ?  […] Je ne le connaissais pas encore. […] C’était la seule connue. » Je laisse à la charge de mon savant ami le fait, pour moi très-douteux, de ces documents historiques tout à fait inconnus et inédits : c’est d’ailleurs chose facile à vérifier.

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