Ils faisaient profession de ne pas connaître d’obstacle. […] Mais dans la Chanson de Roland nous avons vu les héros prendre pied sur un sol connu. […] Ils ne connaissent plus d’autre loi que celle de la nature. […] Il n’a connu ni la raison ni la volonté ; il est demeuré le plus souvent au seuil du monde moral. […] Son cri de guerre nous est connu : « Tombez, tombez, murailles qui séparez les genres !