Mais ses principes, franchement, je ne les connais pas. […] Je les ai connus et pratiqués tous les deux. […] Philarète Chasles connaissait à fond l’Angleterre. […] Il se trouve dans ces derniers livres du talent, sans nul doute, mais du talent inférieur à celui que je lui connais ; des notions étendues sur l’Angleterre, mais superficiellement étendues. […] Il en connaissait les indigences… Ce sont de vagues discussions sur la presse, inspirées par l’amour de la liberté, qu’il avait, ce protestant de Chasles !