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922. (1858) Cours familier de littérature. V « XXVIIe entretien. Poésie lyrique » pp. 161-223

Va dire à Didier qu’il remette son aiguillon à son petit frère, que je lui donne une charrue à conduire, cent vingt francs de gage, quatre paires de sabots, une paire de souliers, six chemises de toile, et que de plus je me charge de faire la noce au château, et que tu y danseras tant que tu voudras avec la Jumelle. » Tout fut fait avec la promptitude et l’entrain que cet excellent homme, toujours pressé du bonheur d’autrui, mettait à une bonne action. […] Il fut le chant du patriotisme, mais il fut aussi l’imprécation de la fureur ; il conduisit nos soldats à la frontière, mais il accompagna nos victimes à l’échafaud.

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