Et, comme en sortant, il lui demandait la raison de son hésitation à pénétrer dans le salon, il lui répondait que devant ces femmes qui avaient leurs gorges à l’air, il avait cru à une mystification et qu’au lieu de l’avoir conduit dans un intérieur familial de lettré, d’Ocagne l’avait mené dans un bateau de fleurs. […] Je dois vous avouer, que Zola s’est très bien conduit, a mis beaucoup de chaleur à l’obtention de la chose, s’est proposé pour aller chez le ministre tout seul, mais je ne l’ai pas voulu, nous y avons été ensemble. […] Nous causons des yeux de Maupassant, qu’il dit avoir été de très bons yeux, mais semblables à deux chevaux, qu’on ne pourrait mener et conduire ensemble — et que le mal était derrière les yeux. […] Là-dessus, la comtesse montait en voiture, se faisait conduire au bord de la Seine, et jetait la pierre à l’eau. […] » À quelque temps de là, demandant à la même femme, si sa fille avait lu Anna Karénine, et celle-ci répondant, que ce n’était pas une lecture pour une jeune fille, il lui soutenait qu’une jeune fille devait être instruite de tout, pour se conduire dans la vie.