Conduis-moi où elle est ; il faut que je la délivre. […] Conduis-moi où elle est, te dis-je ; il faut qu’elle soit libre ! […] Il leur glisse entre les lèvres le mors luisant, il passe les courroies dans les boucles argentées, il attache les longues et larges rênes et conduit ses limoniers dans la cour. […] Herman saisit son fouet, s’asseoit sur le siége et conduit la voiture sous la voûte de la grande porte ; les deux amis, le pasteur et le pharmacien, prennent place au fond du chariot. […] Herman conduit la jeune étrangère le long des escaliers aux degrés rustiques et informes placés sous la treille qui les obscurcit ; elle s’avance à pas tremblants en appuyant sa main sur l’épaule d’Herman.