Il m’ôte des dangers que j’aurois pu courir ; Et sans me laisser lieu de tourner en arrière, Sa faveur me couronne, entrant dans la carrière ; Du premier coup de vent il me conduit au port, Et sortant du baptême, il m’envoie à la mort. […] C’est peu d’aller au ciel, je veux vous y conduire. […] Où le conduisez-vous ?