Les philosophes anglais, connus en France, ont été l’une des premières causes de cet esprit d’analyse qui a conduit si loin les écrivains français ; mais, indépendamment de cette cause particulière, le siècle qui succède au siècle de la littérature est dans tous les pays, comme j’ai tâché de le prouver, celui de la pensée. […] Lorsque la pensée ne peut jamais conduire à l’amélioration du sort des hommes, elle devient, pour ainsi dire, une occupation efféminée ou pédantesque.