« Conduis-moi, fils d’Alpin, conduis le vieillard à ses bois. […] que je sois conduit à la mort ! […] Souvent les détours d’un ruisseau sauvage conduisaient ses pas à des bocages ignorés. […] Le premier avait autrefois accompagné le chef qui conduisit M. […] Conduit par les indices d’une peuplade voisine, M.