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269. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Marie-Thérèse et Marie-Antoinette. Leur correspondance publiée par le chevalier d’Arneth »

M. y ait mis la condition de me mander dans certains cas, j’ai néanmoins lieu de compter que ma retraite sera entière et irrévocable. […] Les conditions modernes de l’histoire sont à ce prix. […] Elle y trouva une lettre de l’abbé de Vermond à la reine, qui devait être d’une date peu postérieure à son départ de mai 1779 : « Cette lettre ne contenait que des conditions pour son retour ; c’était le plus bizarre des traités : je regrettai beaucoup, je l’avoue, d’être obligée de détruire cet écrit. Il reprochait à la reine son engouement pour la comtesse Jules, sa famille et sa société, lui disait des choses vraies sur les suites fâcheuses que pourrait avoir cette amitié… Il se plaignait de voir ses avis négligés ; puis il en venait aux conditions pour son retour… » — D’un autre côté on trouve dans les lettres de Marie-Thérèse à Marie-Antoinette du commencement de l’année 1780 des indications qui concordent avec ce changement de situation : « (1er janvier 1780.)

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