J’ai recueilli cette pensée sur l’amour de Dieu, qu’on aime sans le connaître : Le cœur a ses raisons que la raison ne comprend pas. […] Moi, je ne comprends pas pourquoi je le serais. […] Le son est inspirateur ; je le comprends par ceux de la campagne, si légers, si aériens, si vagues, si au hasard, et d’un si grand effet sur l’âme. […] Je le comprends, mais ne le sens pas. […] Il faut que j’y comprenne comme à un air simple ; mais les grands concerts, mais les opéras, mais les morceaux tant vantés, langue inconnue !