Maintenant, je sais bien, il insiste un peu trop, il vous met trop les points sur les i, il a toujours l’air de s’adresser à des illettrés qui ne comprendraient point sans ce luxe de redites et d’explications. […] Il faut avant tout qu’on écoute ces personnages et qu’on les comprenne. […] Le public n’est pas pessimiste : il ne saurait comprendre la fantaisie singulière de certains esprits qui voient le monde mauvais et qui s’en consolent par le plaisir tout intellectuel et aristocratique de cette connaissance.