Ce récit commence avec le troisième chapitre et compose, à proprement parler, cette charmante idylle de La Mare au diable. […] Ce Sylvinet, d’un bout à l’autre, est touchant ; c’est un être sacrifié, nature distinguée et fine, pas assez forte pour le bonheur, demandant beaucoup, voulant tout donner ; avec ces éléments-là se composent les âmes passionnées et sensibles.