D’abord, ils ne composent pas eux-mêmes les paroles et l’intrigue de leurs drames. […] Ainsi nos compositeurs auraient-ils, je crois, tout intérêt à composer eux-mêmes tout leur drame ; alors seulement ils auraient la vision complète de leur personnage, dans toute l’expression de sa vie. […] Il composa plusieurs opéras dont Judith (1863) et Rogneda (1865) plus proches de Meyerbeer, Verdi ou Glinka que de Wagner.