Paul Mesnard, qui s’en est chargé, et qui s’en acquitte en toute conscience, a mis en tête une Notice biographique puisée aux sources, la plus complète qu’on ait et, je dirai même, la seule vraiment critique jusqu’ici. […] Il va rendre compte, dans ses lettres à M. de Préfontaine, du mal et du mieux, de la guérison que d’abord on croyait complète et des rechutes, de tout ce dont il est le témoin.