Ce qui est certain de Mme de Longueville, c’est que, sans posséder peut-être de certains attraits complets, elle sut avoir toute la grâce. […] Cousin a publiées récemment au complet dans ses Fragments littéraires (1843) ; j’en ai fait constamment usage dans ce portrait, mais je n’avais pas jugé que la mémoire de Mme de Longueville dût gagner à une publication complète. […] Si complet que puisse sembler ce portrait de Mme de Longueville, les lecteurs qui n’en auraient pas assez pourront chercher dans l’édition de 1867 de mon Port-Royal, au tome V, pages 123-139, et aussi dans l’Appendice du tome IV, pages 591-593 ; ils auront épuisé tout ce que j’ai su trouver et dire.