La comtesse Puliga me peint, en sa complète transformation, cet être domestique, ne voulant plus du mariage, ayant assez de l’ancienne servitude conjugale, se refusant à être plus longtemps la bonne d’un ivrogne, et fondant des clubs féminins, avec des tableaux qui représentent une femme dans les flammes et une femme dans le ciel : la première, la femme des siècles passés ; la seconde, la femme des siècles futurs, et avec cette épigraphe décochée aux hommes : « Ils disent, qu’ils disent !