Le succès fut donc complet, unanime, sérieux. […] » Plus loin, l’évêque de Meaux prend la peine d’expliquer à ce malheureux théatin, qui n’y a jamais mis les pieds, l’espèce de plaisir que l’on trouve au théâtre, et jamais commentaire n’a été mieux fait à l’éloge de ce grand plaisir, le premier de tous, peut-être, quand il est complet. […] Célimène, en effet, par sa position qu’on n’explique pas, par ces mœurs au moins fort dégagées, par cet affranchissement complet de tout frein et de toute règle, n’appartient pas plus à la cour qu’elle n’appartient à la ville ; elle est placée à moitié chemin de Paris et de Versailles.