Quatre livraisons de son ouvrage, qui formera un magnifique volume grand in-4º, ont déjà paru, et par le cintre de ce portique commencé, on peut déjà juger de la grandeur et de l’entente de l’édifice. […] Depuis que le xviiie siècle a achevé dans les âmes modernes le travail putréfiant qu’y avait commencé la Renaissance, nous sommes tellement pourris de paganisme que ce qui fut, il y a dix-huit cents ans, la bonne nouvelle pour le monde, serait encore aujourd’hui la bonne nouvelle, comme au lendemain de la Rédemption.