Fils d’un procureur, il commença peut-être à Château-Thierry ses études, et certainement les continua et les termina à Paris. […] Entre Chaulieu et Maucroix il y a place pour le xviiie siècle, qui commence : Maucroix est resté en deçà ; il tiendrait plutôt de Régnier et de nos bons aïeux. […] Qu’une grave maladie le prenne, comme cela lui arriva à Paris, où il se trouvait au printemps de 1682 en qualité de membre de l’Assemblée du clergé, et voilà tout aussitôt cet homme de société, de gaieté et, jusqu’à un certain point, de plaisir, le voilà tout changé ; il a des regrets, il se repent, il se réconcilie : Je commence à sortir, écrit-il au chanoine Favart, si souvent confident de ses légèretés et de ses jeux ; j’ai été aujourd’hui à la messe, c’est la troisième que j’ai entendue depuis ma maladie mortelle : car, mon enfant, j’ai été mort sûrement ; on ne peut aller plus loin sans toucher au but.