C’est le temps où nous commençons à prendre confiance en nos lumieres, qui ne sont encore que le premier crépuscule de la prudence. […] En effet, le succès de notre travail dépend presque autant de la disposition dans laquelle nous sommes lorsque nous nous appliquons, il dépend presque autant de ce que nous faisions avant que de commencer notre travail, et de ce que nous avons projetté de faire après que nous l’aurons quitté, que de la durée même de ce travail.