C’est là où commence l’histoire des plates et viles bassesses de M. […] L’inquiétude commençait pourtant à se répandre dans tout Versailles ; chacun commençait aussi à se faire un plan de conduite pour le cours de la maladie : je fis celui de veiller le roi, et de le soigner de ma présence tant qu’elle durerait. […] Le roi avait été changé de son grand lit dans un petit, pour la commodité de son service ; son affaissement, ses douleurs, sa pesanteur augmentaient, et, malgré l’opinion qu’on avait de sa faiblesse et de sa peur, il paraissait bien évidemment qu’il commençait une grande maladie.