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351. (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « H. Forneron » pp. 149-199

Quand je commençai de la lire dans le livre de Forneron, je me trouvai attiré par la calme élévation de l’auteur, par son dédain de toute idée d’en bas, par son mépris de la canaille, cette Reine d’un monde renversé, par sa notion vraie des grandes choses catholiques. […] François Ier commençait de régner, et l’auteur des Guise a raconté sans s’émouvoir ce règne du père des Valois, qui n’avait pas besoin d’être dépravé par le Protestantisme ; car il l’était déjà par la Renaissance. […] Puisqu’il s’agissait de Philippe II et de son histoire, j’aurais voulu une autre conclusion que la chétive qui va résulter du livre de Forneron, lequel s’achève comme il a commencé. […] Il a donc fini son histoire comme il l’avait commencée. […] L’orgie du sang commença dès le potage.

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