Ses études commencées dans un pensionnat d’Auteuil et terminées au lycée de Sens, il se sentit la vocation des lettres, mais il savait que la carrière nourrit peu son homme et qu’un poète soucieux de se réaliser noblement doit, avant tout, assurer l’indépendance de la pensée par des ressources auxiliaires. […] Mallarmé commençait à parler d’une voix douce, musicale, inoubliable !