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1284. (1859) Cours familier de littérature. VII « XLIe entretien. Littérature dramatique de l’Allemagne. Troisième partie de Goethe. — Schiller » pp. 313-392

Mes premiers regards cependant se tournèrent vers le théâtre… Ce théâtre, en effet, grâce au grand acteur et auteur Iffland, à Kotzebue, à Cimarosa, à Mozart, était devenu, pour la tragédie, la comédie et la musique, l’école du cœur, des yeux et des oreilles de toute l’Allemagne. » Goethe s’effaçait généreusement lui-même pour y faire jouer, chanter et briller les chefs-d’œuvre de tous ses rivaux.

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