Il n’écrivait point par métier, mais pour soulager son cœur. […] Cela ne signifie en aucune façon qu’il ait le cœur bas. […] Elle consent dans son cœur à la faute : « … Qu’est-ce qui m’arrête ? […] — un tout petit peu avec son cœur. […] voilà six ans que tu trompes le cœur le plus loyal et le plus confiant.