Mistress Clarkson la termine en lui déclarant que son cœur a battu pour la première fois. […] En vérité, il faudrait que le comte Jean fut en bois pourri, qu’il n’eût ni sang, ni nerfs, ni cœur ni honneur, pour faire autrement. […] Elle n’a point de coeur, ce n’est pas sa faute. […] Tout est changé en elle, ses entrailles de mère ont remué, son cœur s’est réveillé en sursaut. […] Une brutalité qui lui échappe tombe sur son enfant : c’est la délivrance, c’est la goutte qui fait déborder ce cœur oppressé.