Et Zaïre irait donner son cœur et sa main à ceux qui ont persécuté ce Dieu charitable ! […] Cela tient à de certaines convenances, que les beaux-arts, d’accord avec le cœur humain, savent découvrir. […] Le cœur humain veut plus qu’il ne peut ; il veut surtout admirer : il a en soi-même un élan vers une beauté inconnue, pour laquelle il fut créé dans son origine.