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540. (1949) La vie littéraire. Cinquième série

Pourtant, le poison versé par Ortrude brûlait sourdement le cœur de l’épouse. […] Jules Renard sonderait les reins et les cœurs ! […] Les délicatesses du cœur sont toujours heureuses. […] Et votre cœur vous ordonne de compatir et d’aimer…. […] Et votre cœur vous ordonne de compatir et d’aimer. » Et il est vrai qu’il faut suivre les mouvements du cœur.

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