Elle vient d’un principe immortel, de cette « chaleur de cœur » que Schiller exigeait pour écrire artistement l’histoire. […] car chez Luther, le sycophante et le menteur ont également dégradé l’homme de cœur et l’homme de génie. […] Elle ressemble à son cœur, qu’il ne portait pas dans la tête, où les hommes d’État, a dit l’un d’eux, doivent mettre leur cœur. […] Depuis quelques années, il portait le germe de cette maladie des hommes vaillants qui meurent par l’organe dont ils ont le plus vécu, et chez qui l’intelligence émue a envoyé tant de sang au cœur que le cœur périt sous cette masse de forces généreuses. […] L’étude des hommes n’avait pas flétri ce cœur et cet esprit plus fort que toutes les expériences.