Il se reconnaît vaincu, et prête serment d’allégeance à l’Amour, auquel il laisse son cœur en gage. L’Amour enferme ce cœur sous clef. […] Ailleurs il loue Virgile de la profonde connaissance qu’il a du cœur des femmes. […] Jeunesse l’avait conduit dans l’empire de l’Amour, auquel il avait laissé son coeur en gage. […] Villon écrit le français du peuple de Paris ; il tire sa langue du cœur même de la nation.