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440. (1857) Causeries du samedi. Deuxième série des Causeries littéraires pp. 1-402

Quelle noble et saine occupation pour l’esprit et pour le cœur que ce mélange de charabias et d’infamies ! […] Tous les secrets du cœur y devraient être scellés par la mort. […] Les larmes et les blessures d’un cœur paternel ne se discutent pas ; devraient-elles se publier ? […] pas davantage pour que les cœurs les plus déchirés aient le temps de cicatriser leurs blessures. […] L’homme que n’a pas ébloui le génie de Richelieu était digne de comprendre le cœur d’Anne d’Autriche.

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