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32. (1857) Cours familier de littérature. III « XVIIIe entretien. Littérature légère. Alfred de Musset » pp. 409-488

À coup sûr, Voltaire le savait par cœur et Beaumarchais l’avait beaucoup lu. […] S’il avait eu quelques défaillances de nerfs et non de cœur, elles n’avaient jamais fait tort qu’à lui-même. […] L’amour est un holocauste dans les cœurs purs, mais c’est à condition de ne brûler que des parfums. […] C’étaient des fautes de tempérament, ce ne furent jamais des vices de cœur. […] Est-ce que tu vis par le cœur ?

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