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1594. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « LOYSON. — POLONIUS. — DE LOY. » pp. 276-306

, semblent ici donner le ton ; mais, si le poëte profite des nouvelles cordes toutes trouvées de cette lyre, il n’y fait entendre, on le sent, que les propres et vraies émotions de son cœur. […] …………… Etre selon mon cœur, hâte-toi, l’heure presse, Viens, si tu dois venir : Hâte-toi ! […] Il y a dans les vers de de Loy, souvent redondants, faibles de pensée, vulgaires d’éloges, je ne sais quoi de limpide, de naturel, et de captivant à l’oreille et au cœur, qui fait comprendre qu’on l’ait aimé151. […] Le cœur est né pour ces échanges, Notre âme y double son pouvoir : Et pour nous, comme pour les anges, L’amour est l’œil ; aimer, c’est voir.

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