Le poëte est expert ; il a bien calculé, il sait faire une scène, montrer le duel intérieur par lequel deux passions se disputent le cœur de l’homme. […] Mais quel brave cœur, et comment on entend, lorsqu’il est seul avec Antoine, le mâle accent, la profonde voix qui a tonné dans les batailles ! […] » — « Bouffon, vous voulez dire. » — « Possible, mon cher cœur ; cela ne gâte pas le sénateur. […] vous aurez des coups de pied. » — « Va ; de tout mon cœur. […] Véritablement ce monde fait mal au cœur.