Le portrait de paix et de justice est connu ; c’est celui du chêne de Vincennes et du jardin de Paris ; je le citerai tout à l’heure en son lieu. […] Il est impossible de parler de Joinville sans citer (fût-ce pour la centième fois) cette page qui est sa plus douce gloire : Mainte fois advint qu’en été il (le roi) allait s’asseoir au bois de Vincennes après sa messe, et s’accotait à un chêne et nous faisait seoir autour de lui.