Je cite ces lettres, parce qu’on y voit se dessiner un trait de son caractère, et en même temps l’estime qu’il inspirait. […] C’est à cette lecture de Hobbes qu’il emprunta la conclusion et peut-être l’inspiration d’une admirable page sur la démocratie dont j’ai parlé précédemment sans la citer, mais dont je veux ici extraire la partie la plus saillante.