Et là-dessus on cite, à la vérité, de fort beaux paysages, encore que très sobres, de Théocrite, de Lucrèce, d’Horace, de Virgile, surtout l’admirable cri des Géorgiques : « Oh ! […] Toujours on nous cite les trois phrases de Mme de Sévigné sur le rossignol, la fenaison et les feuillages d’automne, quelques vers de La Fontaine et l’allée de tilleuls de Mme de Lafayette : c’est peu. […] Jules de Glouvet cite volontiers Théocrite et Virgile et il a des descriptions qui, je ne sais comment, semblent « élégamment » traduites d’une pièce de vers latins : Le soleil dardait ses rayons brûlants sur la plaine desséchée.