On pourroit citer l’essai que fit en Angleterre le médecin Procope. […] On le donne pour un malhonnête homme, & capable des dernières bassesses : on ajoute qu’il fut contraint de quitter la Suisse : on va même jusqu’à citer une prétendue lettre qu’il y écrivit de Paris, & dans laquelle il s’avoue coupable.