C’est le cas ou jamais de citer le mot : « Sa grâce est la plus forte. » Le succès de la Douloureuse a été prodigieux. […] » Et je veux citer les vers qu’elle lui dit en cet endroit : car ces vers sur une cruche d’eau fraîche, ces vers d’un « rendu » surprenant, sont, à mon sens, les meilleurs de cet « évangile » : Tu vois cette eau, cette eau limpide, si limpide Que lorsqu’il en est plein le vase semble vide, Si fraîche que l’on voit en larmes de lueur, En perles de clarté ruisseler la sueur, La sueur de fraîcheur que l’amphore pansue. […] On cite toujours Marivaux à propos de Meilhac ; non à tort. […] que, les jugeant uniquement sur quelque chose d’aussi hasardeux qu’une imitation de la vie dans un roman ou une pièce de théâtre, je ne les jugeais pas en tant qu’hommes, ni en tant que pères, fils, maris, amants ou citoyens, — ni même en tant qu’êtres “intelligents”. » Ne craignons jamais de citer Boileau. […] On ne peut citer, je crois, un seul artiste ou poète de premier rang qui ait été proprement un bohème.