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9. (1863) Cours familier de littérature. XV « LXXXVIIIe entretien. De la littérature de l’âme. Journal intime d’une jeune personne. Mlle de Guérin » pp. 225-319

Tu ne m’entends pas, d’ailleurs, et le temps que je te donne n’ira pas au ciel. […] C’est le jour des étrennes, je vais prendre les miennes au ciel. […] Rien n’est plus variable que le ciel et notre âme. […] La moitié de ces confidences s’étend sur la terre, l’autre moitié regarde déjà le ciel. […] Je regrette cependant le paradis, et qu’il n’y ait pas des colombes au ciel.

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