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691. (1887) Essais sur l’école romantique

Le Feu du ciel est presque un poème pour l’étendue. […] Victor Hugo a commencé par les orages ; il peut, il doit finir par ce noble repos du poète qui retrouve, au sortir des mauvais jours, un ciel pur sur une terre amie. […] où va la terre dans le ciel ? […] Mais on y voit aussi ce style que Jules Janin a reçu du ciel, l’ingrat ! […] c’est le public ; ces foudres qui dorment au ciel, ce seraient des clefs forées.

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