Quand je considère dans quel inextricable filet Dieu m’a englobé tandis que je dormais, il me vient des pensées de fatalisme, et souvent j’ai pu pécher en cela ; pourtant je n’ai jamais douté de mon Père qui est au ciel, ni de sa bonté. […] Vous êtes presque le seul dépositaire de mes pensées les plus secrètes ; au nom du ciel, montrez-moi de indulgence, et consentez encore à m’appeler votre frère. […] Je n’ai pourtant pas cessé un instant de regarder le ciel.