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534. (1881) Études sur la littérature française moderne et contemporaine

De frontières au ciel voyons-nous quelques traces ? […] Ses enfants sont joyeux et sa femme est jolie ; On s’aime bien, et puis là-haut le ciel est bleu ! […] C’est le même soleil, le même ciel d’été Versant les mêmes feux splendides. […] — En voici : Je crois que née au ciel et par le ciel rebue, Toute existence, goutte ou fleuve, contribue, Selon la part qu’on a, À noircir ou blanchir l’urne d’où tout s’épanche. […] Des lunettes d’or voilaient ses yeux bleus comme le ciel et affaiblis par l’étude.

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