J’entends chaque matin la femme d’Etzel pleurer, les sens perdus, et se plaindre au Dieu du ciel de la mort du fort Sîfrit. […] « — Maintenant, très-noble Volkêr, je rends grâces au Dieu du ciel. […] Je me plains à vous et au Dieu du ciel de notre détresse. […] Alors je parlerai de réconciliation ainsi que tous ces guerriers qui m’entourent. » « — Le Dieu du ciel ne le veut point, dit Gêrnôt. […] Le Dieu du ciel nous laissera encore vivre heureux quelque temps.